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Investigators

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Julien Archez

Après avoir effectué un DUT Mesures Physique à Saint Etienne, j’ai intégré l’école d’ingénieur INSA de Lyon en Sciences et Génie des Matériaux en 2010. J’ai réalisé des stages sur l’étude de polymères précéramiques au Laboratoire Multimatériaux et Interfaces à Lyon ainsi que sur l’étude et la caractérisation de poudres céramiques perovskite à Stockholm. Mon projet et mon stage de fin d’étude ont été effectués sur l’étude de l’os cortical par nano-indentation et sur la synthèse de verres bioactifs dans l’entreprise Noraker à Villeurbanne. J’ai ensuite travaillé 18 mois au sein de Fives Keods en tant qu’ingénieur métallurgiste où j’étudiais la détection de défauts sur les lignes de production d’Arcelor Mittal. Après un voyage d’un an autour du monde, il a  travaillé au sein d’Areva (Le Creusot) avec Agap2 afin d’analyser les essais mécaniques réalisés sur les cuves et les générateurs de vapeur des centrales nucléaires. J’ai finalement commencé une thèse en 2017 financée par l’Andra sur l’étude de composites géopolymères et leur mise en forme par fabrication additive pour le stockage des déchets nucléaires de haute activité en collaboration avec l’IRCER (Limoges) et le laboratoire Navier (Champs sur Marne). Mes compétences sont la synthèse et la caractérisation physicochimique, structurale ou mécanique des matériaux céramiques, des métaux, des polymères et des composites.

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Camille Boutemy

Après avoir étudié à l’école d’architecture Paris-Est et à la Technische Universität Müenchen, Camille est diplômée architecte en juillet 2018.

 

Elle a mené une courte recherche sur la déformation de plaques par l'incision, un sujet alliant architecture, matière et géométrie lors de son projet de fin d’étude encadré par Marc Mimram, Jean-Aimé Shu et Margaux Gillet.

 

Elle a aussi bénéficié d'expériences professionnelles, notamment en intégrant l’équipe de l'agence Barthélémy Grino architectes en tant que facade designer, mais aussi en tant que consultante en architecture avec l’entreprise Ariane Group.

 

Camille a obtenu un financement grâce au projet [MA]N (Matérialité et Architectures Numériques) primé par I-site FUTURE Impulsion afin d’effectuer une thèse au laboratoire Navier dans le département Matériaux et Structures Architecturées. Cette thèse vise à modéliser et réaliser un coffrage architecturé déformable, et est dirigée par Olivier Baverel (Laboratoire Navier), co-encadrée par Arthur Lebée (Laboratoire Navier) et Marc Mimram (Laboratoire OCS à l’EAVT).

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Paul Carneau

Diplômé du département Génie Civil et Construction de l’École des Ponts et Chaussées en 2013, Paul a commencé sa carrière professionnelle par un VIE (Volontariat International en Entreprise) avec Bouygues Construction en Ukraine, comme ingénieur sur le projet de construction de l’Arche de confinement du réacteur n°4 de Tchernobyl, où il a travaillé à la conception, développement et installation des systèmes d’étanchéité de la structure. Il ai intégré en 2016 le nouveau mastère spécialisé « Design by Data » sur la conception paramétrique et fabrication numérique.

 

Sa thèse professionnelle en collaboration avec Mladen BAbic et sous la supervision d’Olivier Baverel a porté sur l’étude d’une structure hybride composée d’un gridshell élastique en matériau composite supportant une voûte en maçonnerie. 


Suite au mastère Paul a démarré une thèse de doctorat au laboratoire Navier encadrée par Olivier Baverel, Romain Mesnil et Nicolas Roussel. Elle porte sur la recherche de formes imprimables en 3D à base de matériaux cimentaire, et s’appuie sur une étude des structures traditionnelles en maçonnerie (dômes, voûtes en berceau, encorbellement), couplée à une caractérisation du matériau imprimable, et une analyse de la liberté de mise en forme apportée par la robotique. Des expériences à échelle un sont réalisées dans la cellule d’impression 3D de Build’in pour valider les concepts développés pendant cette thèse.

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Léo Demont

Léo Demont est un doctorant de l’équipe Matériaux et Structures Architecturés (MSA) du laboratoire Navier. Il travaille sur le développement d’un procédé échelle 1 d’impression 3D de béton renforcé avec des fibres longues.

Léo a étudié l’architecture à l’ENSA Paris-Malaquais. Il a travaillé dans plusieurs agences d’architecture et co-fonde Dynamorphe en 2017, un collectif d’architectes fédéré autour de la réalisation de structures gonflables interactives. Il participe activement à la création de démonstrateurs innovants exposés dans des lieux d’art et des événements scientifiques réputés, tels que l’Ecole des Beaux-Arts de Paris et le 60e congrès de l’International Association for Shell and Spatial Structures (IASS). 

 

En 2018, Léo rejoint l'Université Paris-Est où il collabore à la mise en place du réseau DiXite et au développement des moyens expérimentaux robotisés jusqu’au début de son doctorat en 2019. Il prend également part à des activités d’enseignement sur la conception architecturale numérique et la robotique à l’ENSA Paris-Malaquais et à l’Ecole des Ponts ParisTech.

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Nicolas Ducoulombier

Nicolas Ducoulombier vient du nord de la France. Il y effectue des études d’ingénieurs à HEI dans le domaine Bâtiments, aménagement et architecture, où il suit également des cours d’architecture à l’Institut Saint-Luc. Il développe ce lien entre architecture et ingénierie durant son stage dans le cabinet d’architecte-ingénieur Samyns and Partners. En 2014, il effectue sa dernière année en échange à l’Université de Sejong à Séoul. Il s’intéresse alors plus spécifiquement aux comportements des matériaux et des structures durant un semestre, puis au sein du laboratoire d’optimisation des structures pour son projet de fin d’étude.

 

A son retour en France en 2015, il intègre le master de recherche « AMMS : Approche Multiéchelle pour les Matériaux et les Structures », où il développe des connaissances approfondis sur la modélisation en mécanique. Il s’occupe en parallèle de l’implantation de l’œuvre monumental de l’artiste Oscar Lloveras sur le parvis du Musée des Arts et métiers en tant que responsable Technique de la société japonaise Saga Yasei. C’est à la suite de son stage de master à l’IFSTTAR, concernant l’étude de l’influence de la corrosion des armatures sur les propriétés mécaniques de l’interface Acier-Béton qu’il intègre le laboratoire Navier en octobre 2016 pour une thèse de doctorat sur le renforcement des bétons pour l’impression 3D.

 

Depuis lors, sa recherche se situe à la frontière entre plusieurs domaines : la formulation, la rhéologie et les propriétés micromécaniques. Il est co-auteur d’un brevet sur un procédé de renforcement pour l’extrusion robotisée. Ces autres contributions sont d’une part, le développement d’une méthodologie expérimentale de caractérisation automatique du seuil de l’extrudât en sortie de buse; et d’autre part, l’étude des propriétés mécaniques de l’interface entre un renfort continu et la matrice cimentaire en s’appuyant sur l’analyse inverse et des observations directes par des techniques de microtomographie à rayons X.

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Julien Glath

Julien est Architecte diplômé d’Etat depuis 2018, issu du Master Matière à Penser de l’École d’Architecture de la Ville et des Territoires de Paris-Est.

 

Il a obtenu sa Licence en Architecture à l’École Nationale Supérieur d’Architecture de Nancy avant de rejoindre le Master dirigé par Marc Mimram et Philippe Barthélémy. Julien a réalisé un Projet de Fin d'Études Recherche, une première pour son Master et son École.

 

Durant ce semestre de recherche, il a travaillé sur les structures déployables, encadré par Marc Mimram, Jean-Aimé Shu et Margaux Gillet. Ce PFE lui a permis d’obtenir une mention Recherche et a suscité chez lui l’envie d’enrichir son cursus avec un doctorat. 

 

Après une expérience professionnelle chez Barthélémy Griño Architectes, Julien est actuellement doctorant au département Matériaux et Structure Architecturés, du laboratoire Navier, grâce au financement d’un projet Impulsion I-Site FUTURE. Sa thèse porte sur la construction et la déconstruction des structures bois grâce aux outils robotisés. Cette thèse est dirigé par Olivier Baverel (Navier, ENPC), co-encadré par Marc Mimram (OCS, EAVT) et Tristan Gobin (HAL Robotics). Julien est lauréat 2019 des bourses de la Fondation Palladio.

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Kateryna Kuzmenko

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Sébastien Maitenaz

Sébastien est actuellement doctorant dans le cadre d’une thèse CIFRE entre ISC (Vinci Construction) et le laboratoire Navier de l’Ecole des Ponts ParisTech. Il a étudié l’ingénierie des structures et le génie civil à l’Ecole des Ponts ParisTech et a obtenu son diplôme d’ingénieur en 2018.

 

Ayant développé un intérêt dans la relation entre structure et architecture, il a appliqué ses compétences multidisciplinaires durant des stages à Maffeis Engineering – où il a pris part à la conception du toit rétractable de Roland Garros – et à VSA Korea – où il a travaillé comme ingénieur façade et a développé un nouveau type de fenêtre, le Ublo.

 

Son travail de recherche s’intéresse à l’automatisation des procédés de construction. Plus précisément, Sébastien s’appuie sur les développements récents des outils de conception et de fabrication numérique (assemblages robotisés, optimisation topologique, conception paramétrique, etc.) pour proposer de nouvelles méthodes de conception et de construction de structures en béton armé, comme des poutres ou des dalles. Ses premiers résultats portent sur l’assemblage de cages d’armatures de poutres optimisées et plus économes en matière.

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Mahan Motamedi

Mahan est architecte numérique et doctorant à l'École nationale supérieure d'architecture de Paris-Malaquais (ENSAPM). Il développe un projet de recherche sur l'impression 3D des structures en maçonnerie de terre sans coffrage. Actuellement, il collabore avec Build'in pour poursuivre son projet de recherche.

Après avoir voyagé dans les villages du désert iranien, il a été fasciné par l'architecture vernaculaire des structures en terre. Il a décidé de réorienter ses études d'architecture vers la fabrication numérique de structures en terre. Actuellement, il développe des outils numériques permettant aux architectes de concevoir et d'imprimer en 3D des structures en terre à grande échelle sous la forme de voûtes multiples.

En 2010, il a fondé le Fab-lab du MMC, où il a exploré les techniques de fabrication numérique à l'échelle des maquettes d'architecture. Il a gagné des prix d'architecture pour étudiants en Iran.

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